Pourquoi je ne suis pas féministe (et je ne le serai jamais)

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Je crois qu’il est grand temps de faire un petit billet d’humeur à ce sujet, n’en déplaise aux ferventes féministes qui me lisent. Vous pensez que les féministes ne me lisent pas ? Vous avez bien raison. Enfin, pas totalement. Car, voyez-vous, les féministes ne sont pas forcément des adolescentes attardées ni des Femen enragées. Ce ne sont pas uniquement des carriéristes méprisant les femmes au foyer ou des mégères imbuvables refusant d’avoir des enfants avant 50 ans au nom de leur sacro-sainte indépendance. Non, il y a aussi celles qui se disent “féministes chrétiennes”, comprenez féministes version allégée. Mais féministes quand même. L’idée de cet article n’est pas de dénigrer toute démarche contribuant à (r)établir la dignité de la femme, mais à vous livrer quelques pensées personnelles sur ce sujet très controversé.

S’il y a bien une chose que je ne comprends toujours pas à l’heure actuelle, c’est ce besoin des femmes de toujours se comparer aux autres et surtout d’être dans une constante revendication. Revendiquer sa féminité, se battre pour exister, s’affirmer pour mieux s’estimer. Être une femme n’est pas un privilège spécial qui nous autorise à nous sentir supérieures aux hommes. Être femme c’est tout simplement…ne pas être un homme ! Nous avons tous les deux été créés avec autant d’amour par le bon Dieu, qui nous a dotés d’une égale dignité et d’attributs physiques, psychologiques et affectifs complémentaires. Comme je vous le disais dans cet article, c’est depuis le péché d’Adam et Ève que les relations entre hommes et femmes se sont détériorées. Depuis, les femmes ont du mal à supporter la domination de l’homme sur elle. Il faut dire que celle-ci est parfois particulièrement dure ou injuste: et oui, les hommes non plus ne sont pas parfaits ! Mais là n’est pas le sujet, regardons d’abord la poutre qui est dans notre œil.

Si j’ai créé ce blog il y a deux ans (retrouvez l’article où je vous raconte tout ici), ce n’est pas pour revendiquer quoi que ce soit ni pour affirmer la supériorité plus ou moins absolue de la femme sur l’homme, et encore moins pour laisser penser que seule la femme peut sauver le monde. Loin de là ! Mon objectif est avant tout de vous soutenir dans vos démarches vers la vraie modestie vestimentaire, qui ne peut pas aller sans une compréhension et adhésion sincère à l’humble et exigeante vocation féminine. Je souhaitais avant tout mettre en valeur la féminité, montrer combien une vraie femme n’est pas une femme parfaite mais une femme fidèle. Je voulais que nous nous soutenions mutuellement et avec bienveillance sur cette féminité qui est notre chemin de sainteté, il n’y en a aucun autre possible pour nous.

Je parle évidemment plus des femmes que des hommes sur ce blog, tout simplement parce que c’est le sujet que je connais le mieux (étonnant, n’est-ce pas 😉 ): non, ce n’est pas pour dénigrer les hommes ! D’ailleurs, pour tout vous dire, je n’envie absolument pas le poids de leurs responsabilités ni les devoirs qui leur incombent au quotidien. Avez-vous déjà réfléchi par exemple à tous les sacrifices que votre père a dû faire pour son épouse, ses enfants, bref pour assurer une vie sans inquiétude et en toute sécurité à son foyer ? Moi oui. Nous devrions toutes réfléchir plus souvent à ces héros du quotidien. Et c’est aussi pour eux que je vous écris maintenant. J’ai croisé trop de femmes qui ne comprenaient pas l’importance de leur vocation et qui rendaient malheureux les hommes de leur entourage. Je voudrais mettre en valeur cette vocation à la maternité physique ou spirituelle et vous encourager toutes sur un chemin qui demande beaucoup de patience, d’humilité et de persévérance dans un quotidien souvent parsemé d’ingratitudes et de douleurs.

Et quand je parle de maternité, ce n’est évidemment pas envers votre mari, votre père ou vos amis 😉 La femme n’est pas l’éducatrice de l’homme et n’a pas à le materner. Elle doit être la sentinelle fidèle qui, en restant à sa place, lui permet d’être vraiment viril et de remplir son rôle d’époux et de père. Notre attitude peut les pousser à être plus ou moins pieux, plus ou moins portés vers la vertu et le bien, et surtout peut les encourager à accomplir leur devoir d’état. Je crois sincèrement que nous devons beaucoup de reconnaissance aux hommes et qu’il est grand temps de cesser de les étouffer avec nos maternages et de les dégoûter avec notre féminisme à la noix. Non, les hommes ne sont pas parfaits, mais nous ne le sommes pas non plus alors arrêtons de les castrer ou de les mépriser. Depuis des décennies la férocité des féministes n’a de cesse d’éloigner les hommes des femmes et, même dans les milieux catholiques, de nombreux hommes refusent de se marier à cause de l’image de la femme renvoyée par de telles attitudes. Ce qu’elles n’ont pas compris, c’est que, dans l’ordre de la nature, il est beaucoup plus facile pour les hommes de se passer des femmes que le contraire. Dommage, je crois qu’il sera trop tard quand elles le comprendront.

Et si nous redonnions à ces hommes l’envie de nous respecter et de nous épouser ? Nous pouvons être soumises sans être potiches, douces sans être idiotes, intelligentes sans être méprisantes. Je sais d’ores et déjà que cet article ne plaira pas à tout le monde, mais je crois que c’est un peu le principe d’un billet d’humeur. Dès que les choses deviennent personnelles, tout se gâte 😉 Encore une fois je parle en mon nom, je ne cherche pas à faire une analyse exhaustive des relations homme-femme ni du féminisme. Je voulais juste vous livrer certaines réflexions qui me tiennent à cœur et surtout éviter que certaines publications ne soient mal interprétées ou laissent croire que je suis féministe. Ça, jamais !

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51 réflexions sur “Pourquoi je ne suis pas féministe (et je ne le serai jamais)

  1. voicicharlotte dit :

    Coucou ! Totalement d’accord avec toi en tout point. Cependant, même si l’idée générale est identique, la définition du féminisme reste quand même subjective: pour certain.e.s, et dans une Visio, “extrême”, c’est l’affirmation et la domination de la femme sur l’homme. C’est en quelque sorte une vengeance que la femme prend sur l’homme, après le rabaissement social perpétuel qu’elle a subi. Cette vision-ci du féminisme, je ne la comprends pas. Beaucoup trop archaïque pour moi mdr
    D’autres pensent (et je m’inclue dedans) que le féminisme, ce n’est non pas rabaisser l’homme, mais plutôt d’élever la condition féminine au même rang que la gente masculine.

    Non, les hommes ne sont pas tous des gros méchants manipulateurs ; non, les femmes ne sont pas toutes des brebis victimes de l’homme.

    J’ai fais un article à ce sujet-là, qui est en rapport avec ton billet. Peut-être que ça pourrait t’intéresser ! https://voicicharlotte.wordpress.com/2018/09/22/le-feminisme-2-0-delie-les-langues/

    • femmeapart dit :

      Merci pour ton commentaire! En effet la définition du féminisme est parfois un peu floue et chacun met un peu ce qu’il veut derrière, c’est bien pour ça que j’ai précisé dans mon article que ce n’était pas une analyse fine et exhaustive mais plutôt un billet d’humeur soulignant certains travers que j’observe même dans mon entourage. Pour moi il n’y a aucune bataille à mener à part celle contre soi-même, ses défauts et ses mauvais penchants. Merci pour le lien vers ton article aussi 😉

  2. chesterdenis dit :

    Je vous cite : “Depuis [Adam et Eve, les femmes ont du mal à supporter la domination de l’homme sur elle. Il faut dire que celle-ci est parfois particulièrement dure ou injuste: et oui, les hommes non plus ne sont pas parfaits! Mais là n’est pas le sujet,” Je pense, moi que c’est tout le sujet : depuis nos ancêtres singes, les mâles hominidés dominent les femelles (c’est un choix, et d’autres espèces de singes n’ont pas fait ce choix), et cette domination s’est alourdie de manière perverse et elle formate les hommes autant que les femmes. Formater ? Jadis les religions faisaient le relais, aujourd’hui la pub et les bonnes manières. D’où votre portrait de la Féminité, d’une mission de la Femme. Les hommes ont tout à gagner à écouter les critiques féministes. Et notamment à se libérer de leur complicité dans le pouvoir abusif, à être mieux responsable du quotidien et de sa charge mentale. (Vous avez tagué votre article ‘féminisme’, donc je réagis Un homme pro-féminisme.

    • femmeapart dit :

      Merci pour votre commentaire! Je disais que ce n’était pas le sujet car je préfère parler des femmes plutôt que critiquer les hommes ou vouloir les éduquer comme des enfants. Ceci dit je suis persuadée qu’en travaillant sur elles-mêmes les femmes auront une influence sur le comportement des hommes.
      C’est par leur attitude vindicative et castratrice que beaucoup de femmes poussent les hommes à ne plus les supporter car ils ne savent plus quoi faire pour les satisfaire et sont devenus de vrais objets pour elles. Et cela donne des mouvements tels que le MGTOW (men going their own way), je trouve ça dommage…. Pour moi il faut réapprendre à ne pas être dans une logique guerrière mais constructive entre hommes et femmes.

  3. NYBeautycare dit :

    La définition du féminisme est relative. Ça c’est une une façon de voir les choses. Pour moi le féminisme c’est avant tout l’égalité des sexes et non la domination d’un genre sur un autre. Je vais prendre un exemple simple que tout le monde connait. L’égalité des salaires. Pourquoi une femme devrait accepter d’avoir un salaire moindre qu’un homme alors qu’ils fournissent le même travail ? Je ne sais pas comment ça se passe dans ton pays mais dans le mien, les femmes qui ont un emploi évoluent jusqu’à un certain niveau et dans certains domaines, au delà on va te dire qu’une femme n’a pas les épaules pour occuper tel piste, que c’est un travail d’homme. Et lorsqu’une femme accède à un certain niveau, c’est qu’elle a couché, c’est une petasse , elle aime trop donné des ordres, une carriériste comme tu as dit.
    Les féministes pour moi se battent contre le sexisme. Le fait qu’on se base sur le genre pour juger une personne.
    C’est ça le féminisme. Et puis toutes les femmes ne sont pas faites pour être soumise. D’être aime faire entendre leur voix et si certaines ne l’avaient pas fait, nous n’aurions jamais obtenu beaucoup de droit que tu as maintenant et que tu minimise comme le simple fait d’avoir un travail!!

    • femmeapart dit :

      Merci pour ton commentaire! Comme je l’ai précisé dans l’article, c’est un billet d’humeur et je n’ai aucune intention de rejeter en bloc toutes les batailles des féministes 😉 Je vois les choses sous un prisme particulier, et je remettais surtout en cause cette position quasi systématique de lutte contre l’homme quoi qu’il arrive, de rébellion perpétuelle et de victimisation des femmes lorsqu’elle n’a pas lieu d’être (se sentir abaissée quand un homme est galant par exemple). Je ne remets pas en cause le fait, à compétences égales, d’avoir un salaire égal, ni le fait de protéger les femmes des violences conjugales par exemple. Concernant le travail des femmes, je ne suis pas sûre que ça soit une vraie libération. Pourquoi le fait d’être soumise à leur mari/conjoint est impensable et par contre elles courent se soumettre à un patron qui n’attend qu’une chose la rentabilité à tout prix, sans aucun respect pour la spécificité des femmes (le fait qu’elles ont parfois des enfants, qu’elles souffrent parfois à cause de leur cycle etc). L’équité oui, l’égalité je ne crois pas qu’il faille la chercher à tout prix (je ne parle pas des salaires mais de façon générale) car nous sommes différents donc au contraire la société comme le monde du travail devraient s’adapter à chacun.

      • NYBeautycare dit :

        certaines ne veulent pas se soumettre parce qu’elles pensent que leur vie dépends d’elle et qu’elle n’a pas à se soumettre à un homme pour quelque raison que ce soit!!
        ensuite toutes les femmes sont différentes d’autres sont très ambitieuses tandis que certaines veulent juste avoir un foyer et une vie tranquille tout comme les hommes d’ailleurs.
        et enfin le monde du travail ne va pas s’habituer à chacun juste comme ça, il faut bien que certaine élève la voix pour d’autres!!
        je pense que les féministes ont leur place dans notre société. tout le monde ne peut pas adhérer mais cela ne veut pas dire qu’elles doivent se taire:

        • femmeapart dit :

          Pour certaines choses (par exemple un salaire équivalent à compétences égales) c’est bien qu’elles élèvent la voix. Mais pour d’autres (hurler au machisme dès qu’un homme est galant ou tout simplement ouvre la bouche) ça peut porter préjudice à toutes les femmes alors que certaines n’ont rien demandé. Après c’est aussi aux hommes de faire la part des choses et de ne pas mettre tout le monde dans le même panier. Et que hommes comme femmes choisissent bien leurs conjoints mutuels selon leurs convictions 😉

  4. Leslie dit :

    Bonjour,
    On se sent moins seule en lisant votre article. Le feminisme est un sujet sensible qui demande du courage pour l’aborder lorsqu’on marche à contre-courant,même en étant soi-même une femme. En démontre certains commentaires… C’est pourquoi je vous remercie de l’avoir écrit.

    • femmeapart dit :

      Merci! Ce n’est pas facile car le féminisme est un sujet assez large en soi et tout n’est pas à jeter non plus. Mais c’est vrai que dès que l’on émet la moindre critique de ce mouvement ou d’une partie de ce mouvement on est tout de suite mal vu, que ce soit par les femmes ou par les hommes d’ailleurs. Merci pour vos encouragements qui sont d’autant plus précieux 🙂

  5. Dana dit :

    Bravo pour votre courage.

    Le féminisme étrangement galvanise des valeurs masculines :force, pouvoir, visibilité et rend certaines valeurs belles et plus subtiles, autrefois portées par les femmes, complètement marginales dans notre société : mystère, vulnérabilité, délicatesse, pouvoir de faire changer celui qui a la force d une autre manière qu en utilisant la force, mais aussi le sacré de faire un foyer intime et chaleureux faisant partie de qui est caché-, préparer la nourriture, les fêtes, s occuper des petits enfants, du linge etc.. Tout cela est rendu méprisable dans nos sociétés. Le résultat est un monde qui manque de poésie, de richesse dans le sens qu on peut lui donner-il n’y a que lutte de pouvoir, c est pauvre et réduit comme sens !-

    Je trouve aussi lassant que tous les discours et arguments féministes soient les mêmes. On entends toujours la même chose, ressassé de la même manière (ex :différence de salaire. Jamais on ne va dans le fond du sujet, par exemple en analysant vraiment l’ampleur du problème et les causes, qui ont pourtant été étudiées et sont plus complexes que la volonté d’hommes qui voudraient abaisser les femmes et qu il faudrait faire ployer grâce à des revendications. Etc. Vraiment c est terrible ces discours calqués les uns sur les autres.

    Mais bon… C est l époque et cela ne va pas changer à priori. On est sur cette pente et il va falloir tout dévaler jusqu au bout.
    Merci néanmoins pour exprimer un point de vue différent. Ça fait un peu d oxygène

    • femmeapart dit :

      Merci pour votre commentaire et votre soutien! Ce que vous pointez du doigt est très intéressant: on ne va que rarement au fond du problème c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est difficile de débattre avec des partisans du féminisme! Je continue de me documenter sur tous ces sujets pour pouvoir être à même de mieux en parler et de mieux répondre à tous ces arguments.

  6. Jeanne83 dit :

    Bon article avec lequel je suis globalement d accord. Oui pour la dignité de la femme si c est le combat des féministes. Mais ce n’ est pas tellement leur combat. Un exemple: Je pense que le magazine Elle représente assez bien les magazines plutôt féministes et il présente souvent des pubs” porno chic “. Triste contradiction que de vouloir aider les femmes tout en les présentant parfois ds des pubs comme des esclaves sexuelles.
    Autre chose, c est un faux combat que de dire qu il faut se battre pour le même salaire qu on soit homme ou femme. En effet une étude montrait récemment qu entre les femmes sans enfants et les hommes, les différences de salaires sont quasiment inexistantes à travail égal. C est entre les femmes avec enfants et les hommes que l’ écart se creuse. Pourquoi ? Parce que les femmes sont moins centrées sur leur carrière et veulent du temps pour s occuper de leurs enfants, prennent un temps partiel etc…la vraie difficulté est de concilier vie familiale et vie professionnelle.
    Et puis je finirais de façon provocante. Margaret Thatcher et madame Merkel n ont pas attendu les féministes pour s imposer dans un monde soi disant dominé par les hommes. Quand on est vraiment compétente, on est utile et on a besoin de nous. Alors mesdames les féministes, arrêtez de pleurnicher et soyez plus compétentes, ce sera le meilleur moyen de faire carrière si tel est votre Objectif. Ce n’ est pas en émasculant les hommes que tous les problèmes de la planète seront résolus !
    PS: je suis une jeune femme mariée avec enfants

  7. Jeanne83 dit :

    Vu une vidéo de Lucie présentant le livre mais pas lu. Cependant le féminisme opposant femmes et aux hommes est d essence marxiste par sa vision de lutte des classes. Ici lutte entre les femmes et les femmes. Sur le principe, je trouve mauvais d opposer des groupes à d’autres groupes et manichéen de penser que tous les hommes seraient des oppresseurs et toutes les femmes seraient des victimes. Hommes et femmes peuvent être monstrueux mais souvent en utilisant des moyens différents. Bref oui à la complémentarité des sexes et au respect de chaque sexe. Mais arrêtons d être manichéen !!

  8. Baldr dit :

    Pour répondre à certaines (bien que l’outil ne s’y prête guère) :

    – Les différences de salaire entre hommes et femmes s’expliquent par le fait que les hommes font plus d’heures supplémentaires et choisissent des branches du marché du travail qui rapportent plus. D’autre part, les femmes ont plus souvent un travail à temps partiel.
    D’autre part les statistiques sont biaisés :

    Une étude américaine montre un écart de salaire entre les chauffeurs d’UBER alors même que la discrimination est impossible (on commande une voiture avec Uber, pas un chauffeur au caractéristiques définis) :
    https://web.stanford.edu/%7Ediamondr/UberPayGap.pdf
    Voir aussi l’étude très complète du sociologue Cyrille Godonou : https://cyrille.godonou.free.fr/Questions%20sociales/Le%20mythe%20de%20l%20ecart%20salarial%20%C3%A0%20travail%20egal.htm

    – Le concept de charge mentale est stupide : je ne vois pas en vertu de quoi on pourrait imputer aux hommes le fait que les femmes se sentent plus préoccupées par leur foyer.
    Hommes et femmes n’ont pas les mêmes exigences en matière de propreté, de confort et de décoration d’intérieur. Il est donc normal que celles qui ont des exigences plus hautes (ce qui n’est pas forcément mauvais car je pense que certains hommes vivent comme des porcs).
    Cela correspond à des spécificités naturelles (n’en déplaise aux tenants de l’égalitarisme qui pensent naïvement que les déterminismes liés au sexe sont exclusivement le résultat de conditionnements sociaux) et les inégalités nombreuses entre les sexes découlent en partie de différences de nature.
    Cela explique par exemple la “différence de traitement entre le corps masculin et féminin” (référence au blog d’une des intervenantes). Hommes et femmes n’ont pas le même rapport au corps et l’homme sexualise beaucoup plus. La faute, entre autres, à la testostérone.
    Discutez avec des body builders qui prennent de la testostérone (y compris des femmes) et vous verrez les effets de cette hormone sur le comportement.

    Concernant ce concept de charge mental je pourrai d’ailleurs employer les mêmes arguments culpabilisateurs des féministes et hurler à la discrimination : comment savez vous ce que les hommes vivent et ressentent ? Vous faites de la discrimination en insinuant que les hommes sont irresponsables. C’est du womansplaining.

    – le Féminisme c’est juste vouloir l’égalité : L’égalité n’existe pas dans le monde. Il y a des déterminismes et une personne intelligente ne passera pas sa vie à essayer de gommer artificiellement ces déterminismes mais les exploitera pour trouver une place qui correspond au mieux à sa nature et au bien commun.
    La domination de l’homme sur la femme n’est pas aussi simpliste que les féministes veulent le faire croire :
    – 85 % des décès au travail sont des hommes
    (sources : https://opac.invs.sante.fr/doc_num.php?explnum_id=7393 )
    – 75 % des personnes qui se suicident sont des hommes
    (sources : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er109.pdf )
    – 96,3% des personnes incarcérées sont des hommes
    ( sources : https://www.justice.gouv.fr/art_pix/mensuelle_aout_2017.pdf )
    – 95% des sans abri sont des hommes
    ( sources : https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281324#inter2 )

    Et c’est pareil quand on regarde les accidents de travail, la pénibilité au travail, les dépenses des ménages, l’échec scolaire…
    D’une manière générale, le féminisme est une réponse émotionnelle et autocentrée à des problèmes réels pour certains (harcèlement de rue, viols…), exagérés voire inventés pour d’autres (charge mentale, différences de salaire, oppression patriarcale…).

    Bravo à l’auteur de ce site qui refuse de sombrer dans cette vision partiale et subjectiviste des choses.

    • femmeapart dit :

      Merci pour votre commentaire riche et documenté et pour vos encouragements! C’est vrai qu’il n’est pas évident de prendre position sur ce sujet, mais je crois qu’il est important d’en parler pour essayer s’ouvrir les yeux aux gens autant que possible… Merci pour toutes les références précises citées!

  9. Pioup dit :

    Bonjour,

    il est important de ne pas voir le féminisme par “un certain prisme” car le féminisme a une définition qui n’a rien de floue : “Le féminisme est un ensemble de mouvements et d’idées politiques, philosophiques et sociales, qui partagent un but commun : définir, promouvoir et atteindre l’égalité politique, économique, culturelle, personnelle, sociale et juridique entre les femmes et les hommes.”

    Il n’est nulle part question de domination et de mépris envers les hommes.

    En revanche le mot “misandre” est un adjectif approprié pour désigner les personnes (hommes ou femmes) qui méprisent et n’aiment pas les hommes. Ce qui est inacceptable, je vous l’accorde.

    Attention de ne pas mettre dans le même panier celles qui veulent dominer et ceux qui luttent pour l’équité, car ce sont toutes les femmes qui en payeront le prix. Je sais qu’il est facile de confondre les deux car les médias font de leur mieux pour discréditer le féminisme.

    • femmeapart dit :

      Merci pour votre commentaire ☺️ Je ne pense pas qu’il soit mauvais de lutter pour l’équité (qui n’est pas la même chose que l’égalité pure et simple) mais pour moi le féminisme reste une idéologie intrinsèquement mauvaise (cf la définition que vous avez donnée ici), même si tous leurs combats ne sont pas mauvais. Il y a d’ailleurs plusieurs courants dans le féminisme. On peut promouvoir plus d’équité entre homme et femme, comme au point de vue salarial par exemple, mais sans oublier les particularités liées à chaque sexe (souvent les femmes veulent travailler moins d’heures ou avec moins de responsabilités par exemple). Donc je me méfierai toujours de ce mot et de cette idéologie, sans pour autant rejeter chaque action et chaque combat.

  10. Fleur dit :

    Je m’attendais à ce que vous nous disiez réellement pourquoi vous n’êtes pas féministe mais en fait vous ne dites rien de précis mais vous semblez avoir beaucoup d’à priori. Bine que Pioup ait déjà donné la définition du féminisme, je la remets à mon tour car il vaut la répéter encore et encore. Le féminisme est un ensemble de mouvements et d’idées politiques, philosophiques et sociales, qui partagent un but commun : définir, promouvoir et atteindre l’égalité politique, économique, culturelle, personnelle, sociale et juridique entre les femmes et les hommes. Le féminisme a donc pour objectif d’abolir, dans ces différents domaines, les inégalités homme-femme dont les femmes sont les principales victimes, et ainsi de promouvoir les droits des femmes dans la société civile et dans la vie privée.
    Vous savez le féminisme concerne aussi les hommes, beaucoup sont féministes également et puis le féminisme existe depuis l’antiquité disparaissant et réapparaissant de façon cyclique. Personnellement, je remercie toutes ces femmes et ces hommes qui les ont soutenus pour tout ce qu’elles ont fait. Nous pouvons aujourd’hui disposer de notre propre salaire, de notre propre héritage, nous pouvons voter (1946 seulement) , nous pouvons faire de hautes études, nous ne sommes plus obliger de demander l’autorisation d’un homme de la famille pour ouvrir notre propre compte bancaire (relativement récent 1975), nous pouvons utiliser un contraceptif si nous le souhaitons, nous pouvons nous marier avec la personne de notre choix et ne plus être violer dans un mariage arrangé. Oui le mot est fort mais tellement vrai. Nous pouvons décider de rester à la maison élever nos enfants si nous le voulons. Enfin bref, tellement de chose que nos arrières grands-mères n’ont jamais pu faire étant considérée et par l’église et par la société comme des éternelles mineures.
    Vous devriez parler avec vos grands-mères et arrière grands-mères. Les miennes m’ont parlé de leur enfance et jeunesse pendant la guerre, des faiseuses d’anges et autres joyeusetés que l’on faisait aux femmes.
    Vous semblez être une personne gentille mais vous manquez d’humilité, devenez plus humble.

  11. Sarah dit :

    Grâce à ce féminisme que vous n’aimez pas, vous avez aujourd’hui la possibilité de voter, d’ouvrir un compte bancaire sans autorisation préalable de votre père ou mari, de travailler dans le domaine que vous voulez (la médecine, par exemple, longtemps interdite aux femmes). Le féminisme, c’est croire que les femmes et les hommes sont égaux en droits. Oui il y a des dérives idéologiques à ce mouvement, ce n’est pas pour autant qu’il faut jeter le bébé avec l’eau du bain. Je travaille, et je suis heureuse de le faire, tout en étant mère. Etre au foyer, ce n’est pas pour moi. Oui je suis féministe, car je considère que les femmes doivent avoir le choix : être mère au foyer, ne pas être mère, exercer le métier de chirurgien, pilote de chasse, scientifique, gendarme, pompier…etc Etre féministe ne fait pas de moi une harpie qui méprise et déteste les hommes, au contraire j’aime les hommes ! Je n’ai absolument pas l’impression d’être une chose fragile que son mari doit protéger. D’ailleurs quand mon mari a repris ses études, c’est moi qui ai soutenu notre famille financièrement, et avec plaisir car je savais que ce changement de voie était positif pour lui et notre couple. Je ne me suis pas sentie supérieure ou moins femme pour autant. En étant féministe, je refuse aussi l’assignation traditionnelle des femmes à la maison sous prétexte qu’elles y seraient naturellement plus portées. Beaucoup se sont retrouvées comme cela dans de véritables prisons mentales qui ont fait beaucoup de dégâts. Oui certaines s’épanouissent au foyer, d’autres pas du tout. Les unes ne sont pas supérieures moralement aux autres. Aujourd’hui, j’espère offrir à ma fille un exemple positif, lui donner l’idée que le fait d’être une femme ne doit en aucun cas la limiter dans ses choix, et qu’elle ne doit pas sentir assignée à un rôle à cause de son sexe.

    • femmeapart dit :

      Bonjour Sarah, merci pour votre commentaire et votre témoignage. Même si je ne suis pas d’accord avec tout, j’apprécie votre politesse et votre délicatesse, ce n’est plus si courant 😊 Tout ce que font/pensent les différents courants féministes n’est pas forcément à jeter, nous sommes bien d’accord. C’est pour cela que je précise généralement bien les points sur lesquels je ne suis pas d’accord et notamment l’idéologie qui est sous-tendue très souvent à savoir que les femmes doivent devenir des hommes pour avoir de la valeur, se masculiniser ou entrer en compétition avec eux. Il vaut mieux, après s’être assurés qu’ils bénéficiaient tous deux de la même dignité et du même respect, axer les réflexions sur leur complémentarité et chercher l’équité plutôt que l’égalité absolue. Une femme qui travaille n’est pas une femme mauvaise que l’on doit montrer du doigt, c’est sûr 😉 Cependant il faut objectivement rappeler qu’un enfant, surtout petit, a énormément besoin de sa mère pour se développer physiquement et psychologiquement de la façon la plus épanouie possible. Malheureusement les femmes n’ont pas toujours la possibilité (financière ou mentale comme vous l’avez évoqué) de rester à la maison. Merci pour ces retours d’expérience et pour cet échange!

  12. Dadron royal dit :

    Bravo, vous êtes vraiment une femme à part 😂, j’ai beaucoup apprécié le contenu et votre franchise, généralement très peu se livrent et donnent leur point de vue personnel comme vous l’avez fait. Très bien argumenté, propre et simple, moi qui ais l’habitude de voir toujours les hommes être juste traités de violeurs et barbares par certaines soient disantes féministes dans les médias, lire ton poste à changer ma vision des choses, je me disais déjà que les femmes comme toi avaient été éradiquées de la terre 😂😂😂. Bref ça m’a plu, je me suis abonné, j’ai hâte de lire le prochain poste. Bise 😘😘

    • femmeapart dit :

      Merci pour votre gentil commentaire! J’avoue que ce genre d’article ne plaît pas toujours, mais il est important de pouvoir affirmer ses idées même lorsque la société nous met une véritable pression pour ne pas le faire 😬 J’espère que le reste du blog vous plaira en tout cas! À bientôt, Thérèse

  13. Blitz dit :

    Bonjour,
    Le langage est révélateur d’une façon de penser, le réel miroir de l’opinion.
    Vous dites “être femme c’est ne pas être un homme”.
    Vous définissez donc la femme par négation.
    Une femme n’est pas bruyante, n’est pas sans gêne, n’est pas indiscrète,…
    En bref, une femme n’est pas…

    • femmeapart dit :

      Bonjour, c’est une remarque très judicieuse. Si j’insiste sur la négation et la différence d’avec l’homme, c’est tout simplement pour réfuter l’erreur actuelle qui consiste à dire que femme = homme et vice-versa, qu’ils sont interchangeables. C’est dans un contexte particulier pour m’opposer à ce que dit la société. Dans l’absolu, la femme n’est pas une négation, elle est au contraire une créature à part entière, avec des caractéristiques propres

  14. Léa dit :

    Bonjour,

    Je suis pour ma part très féministe et je tenais à exprimer mon avis – dans le respect, puisque vous avez eu la délicatesse de donner votre opinion de même.

    Vous n’êtes pas féministe, soit. Cependant, c’est grâce au féminisme et à ces femmes qui se sont battues que vous avez le droit, en tant que femme et donc être humain – qui, même si elle n’est pas un homme comme vous l’avez souligné, est son égale – de voter, d’avoir un compte bancaire sans demander l’autorisation à votre mari et d’exercer d’autres libertés qui ne nous ont été acquises que très récemment.

    Pourtant, aujourd’hui, le sexisme continue. Dans mon collège, les filles ont tout un tas de restrictions (pas le droit aux jupes au-dessus du genou, aux robes, aux décolletés, aux bretelles, aux shorts, aux manches trop courtes, au maquillage, au vernis, à quoi que ce soit de transparent (un jour, une fille s’est fait humiliée et punie pour avoir porté un haut aux manches transparentes), aux jeans troués) alors que les garçons, non. Je ne dis pas qu’il faut tout autoriser, car oui, une mini jupe n’est pas adaptée pour aller en cours, mais au-delà du sexisme de ces interdictions (si les hormones des garçons sont en feu à la vue de nos genoux, je crains qu’il ne faille les enfermer jusqu’à l’âge adulte, ce serait plus simple), nous crevons de chaud en été. Et je sais que beaucoup d’autres écoles sont dans le même cas. Tout ça pour dire que, oui, le sexisme est encore présent.

    Le jour où les femmes auront le droit de sortir légalement poitrine nue (illégal pour les femmes car selon la loi, nos seins font partie de notre organe génital..), le jour où je pourrai mettre un décolleté sans me faire traiter de pute (et oui, c’est arrivé) ou que les surveillantes m’obligent à mettre un pull, le jour où ma mère gagnera autant que son collègue alors qu’elle fait de meilleurs chiffres, le jour où nos protections hygiéniques seront régies par des lois (et donc le jour où Tampax ne pourra plus mettre du désherbant dans nos tampons) et remboursées par la sécu ; ce jour-là où nous aurons l’égalité (et c’est ce que nous souhaitons, pas la supériorité, contrairement à ce que vous dîtes dans cet article), oui, le féminisme ne sera plus nécessaire, car après des siècles de lutte, hommes et femmes disposeront des mêmes droits et tous pourront évoluer librement (malheureusement, je crains que ceci soit trop utopique pour être réaliste).

    Voilà. Excusez ce pavé. Il ne vous fera pas changer d’avis, mais j’aurai fait entendre ma voix – même si je n’ai que bientôt 14 ans, j’ose espérer que vous lirez ce commentaire en entier. À mon échelle, je veux continuer de me battre pour notre liberté même si vous me jugez sans doute trop jeune et naïve comme beaucoup avant vous.

    Merci de votre attention et bonne nuit !

    P.S. Je déplore également que vous vous soyez trop appuyée sur la religion catholique pour étayer vos propos. C’est une croyance et non un fait scientifique et prouvé. Les avis divergent à ce sujet :’)

    • femmeapart dit :

      Bonjour Léa, merci pour votre commentaire. Je vous invite à écouter cette conférence, je réponds à peu près à tous vos arguments et j’explique de façon plus détaillée ma position: https://www.youtube.com/watch?v=VcRRhBcxtlA&t=4s
      Pour information, les femmes ont toujours eu beaucoup de liberté, et ce justement grâce au travail de l’Église qui l’a réhabilitée dans sa dignité tout au long des siècles. Il n’y a qu’à lire La femme au temps des cathédrales de Régine Pernoud pour voir qu’au Moyen-Âge les femmes administraient des immenses domaines, étaient médecins, poètes, etc. Nous sommes loin de la vision des féministes! C’est le code Napoléon, en 1804, qui a rabaissé les femmes au rang des fous et des mineurs. Je ne vois pas en quoi sortir à moitié nue pourrait être un progrès pour la femme, au contraire c’est ce genre de revendications qui rabaisse la femme au rang d’objets (sexuels). Ne confondons pas égalité et équité, homme et femme n’ont pas les mêmes besoins, les mêmes droits et les mêmes devoirs (dans certains domaines) et c’est très bien comme cela. Bien sûr il subsiste des injustices, bien sûr le monde n’est pas tout rose. Mais ces différences entre les sexes sont une réalité que certains féministes transforment en une inégalité à sens unique. Elles font beaucoup de raccourcis, se victimisent, veulent ressembler aux hommes (comme si la féminité en elle-même était une tare). Je vous laisse réfléchir à tout ceci, mais essayez de ne pas succomber à tout ce lavage de cerveau et à réfléchir par vous-même.
      PS: Dieu existe, cela peut se prouver scientifiquement 😉

  15. anono dit :

    Bonjour , j’aurais une question si vous me permettez et sans jugement svp… une femme chrétienne peut elle épouser un homme musulman ?

    • femmeapart dit :

      Bonjour, l’Eglise catholique est très prudente concernant les mariages mixtes, puisque cela représente un risque non seulement pour la personne qui se marie, mais aussi pour les futurs enfants. Les risques étant de perdre la foi, ou bien de ne pas pouvoir la vivre pleinement, de ne pas avoir la possibilité de faire baptiser ses enfants ou de les emmener au catéchisme, etc. Ceci dit, des dispenses peuvent être accordées, je crois qu’elles sont données par l’évêque mais je ne suis plus très sûre. En tout cas, il faut une dispense officielle. D’un point de vue plus personnel, je trouve cela plutôt difficile de ne pas partager sa foi avec l’homme/la femme de sa vie, étant donné que notre relation à Dieu est ce qui guide notre vie et en est la partie la plus importante 🙂

    • Léa dit :

      Je me permets de te répondre. Pour moi, il n’y a juste aucun problème à ça. La religion ne doit pas être un obstacle au mariage ! Je pense qu’il est tant que les mentalités évoluent à ce sujet :’)
      Après, ça dépend de la foi des personnes concernées. Si les deux sont très attachées à leur religion, ça peut être plus compliqué pour l’éducation des enfants et la vie commune, mais je doute que ça représente une difficulté majeure.
      Bonne soirée !

  16. Léa dit :

    Je suis d’accord avec toi. Je pense qu’elle a juste une image éronnée du féminisme contemporain.

    De plus, non, je ne pense pas que vous pouvez prouver que Dieu existe. C’est la religion catholique, ça n’a rien de scientifique. Et dans ce cas, vos arguments deviennent d’office caduques pour une athée ou une musulmane.

  17. Mélanie dit :

    Bonjour.

    Je suis Mélanie, catholique et pratiquante, qui il y a 15 ans a rencontré une merveilleux homme mulsuman. Nous nous sommes maries il y a presque 9 ans dans les 2 religions.
    Nos enfants sont baptisés tous les 3 avec m’appuie de mon mari et de notre prêtre et diacre.
    Mon maris n’est pas pratiquant dans sa religion mais il croit fortement en Dieu.
    Notre mariage est basé sur l’amour et le respect.
    Et nous sommes heureux tous les 5.

    Ps : pour répondre à Lea

  18. Dreis dit :

    L avenir est le mgtow
    C est trop tard pour revenir en arrière
    Le mal est fait… ont c est le moment de payer les pots cassés

    • Thérèse dit :

      Je pense que l’avenir c’est surtout d’essayer d’aider les femmes à être plus féminines et les hommes plus virils. Que chacun devienne le meilleur possible, que l’on retrouve des relations harmonieuses et complémentaires plutôt que destructrices…

  19. Maxime dit :

    en tant qu’homme et surtout mâle blanc cis-genre hétéro, je suis responsable de tous les maux de la Terre selon les féministes modernes. Elles veulent que je me déconstruise, elles me refusent le droit d’être un homme selon ma volonté, mes souhaits, mes envies, selon mon identité de genre, elles m’opposent la négation de ce que je suis ou veux être. C’est un mouvement fasciste et totalitaire. Jamais les féministes ne parlent de féminité toxique, jamais les féministes ne remettent en cause leurs privilèges, jamais les féministes n’appliquent à elles-mêmes la grille de lecture qu’elles imposent aux hommes. Je suis pour l’égalité entre les hommes et les femmes, c’est pour ça que je ne serai jamais féministe. Récemment divorcé et abandonné par mon ex-femme, j’ai pu voir à quel point les juges aux affaires familiales traitent les hommes, comment les femmes traitent les hommes d’une manière générale. Vous n’avez plus rien à nous offrir et nous sommes de plus en plus nombreux à ne plus vouloir de vous. Profitez bien de vos vies sans nous, nous ferons de même.

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