« Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup ; il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne » – Frank Irving Fletcher
Cette citation est assez connue et pourtant il semblerait, entre autres, que les parisiens l’oublient un peu trop souvent 😀 Résultat, tout le monde (ou presque) tire la tête dans le métro. Si je parlais d’une façon familière, je pourrais presque leur dire, avec Christophe André, que « sourire mobilise 15 muscles, mais faire la tête en sollicite 40. Reposez-vous : souriez ! ». Hum, trêve d’humour et revenons au sujet qui nous préoccupe aujourd’hui.
Sourire n’est pas compliqué, c’est même à la portée de tout le monde. Un sourire illumine un visage, crée un lien avec l’interlocuteur, rassure, réconforte, encourage, détend, et donne du baume au cœur, non seulement à la personne à qui on l’adresse mais également à nous-mêmes. Comme le disait Edward Kramer, « n’attendez pas d’être heureux pour sourire, souriez plutôt afin d’être heureux ». Comme je vous le disais dans cet article, cela demande parfois un peu de volonté et d’auto-persuasion pour se sentir heureux, épanoui et positif. Cela ne signifie pas que l’on est hypocrite ou que l’on se force, il s’agit tout simplement de faire un premier pas vers le bonheur, le reste suivra spontanément !
Essayez de sourire dans les transports, ou en tout cas de ne pas froncer les sourcils et d’oublier votre tête renfrognée: vous vous sentirez plus légère, et la douceur et la sérénité qui se dégagent de votre visage seront communicatifs 🙂 Attention, ne souriez pas bêtement, et ne riez pas à tort et à travers ! Votre sourire doit être franc, naturel et je dirais même harmonieux avec le reste de votre visage : ce sont aussi vos yeux qui sourient.
Pour terminer, je voudrais partager avec vous quelques indications du Petit Larousse du savoir-vivre à propos du rire et du sourire. Le lien pour acheter cette bible des bonnes manières est en bas de l’article 😉
« Pouvoir rire, savoir rire, est le signe d’une bonne santé mentale. Néanmoins il convient de rire à propos, lorsque l’atmosphère s’y prête, en évitant les gloussements, les hurlements, les pouffements, les ricanements ou les grimaces. Le rire doit pouvoir se maîtriser et s’arrêter, surtout s’il n’est pas partagé par votre entourage, et ne doit jamais s’exercer aux dépens d’autrui. (…) Le sourire, parce qu’il s’adresse à l’autre, adoucit les rapports humains ; il tempère les blâmes, il rassure et introduit une connivence ou une complicité : on peut presque tout dire avec un sourire. Le sourire embellit le visage, alors que le rire le déforme ! Le sourire désarme l’agressivité, aussi est-il un des piliers du savoir-vivre »
Si vous souhaitez lire Le Petit Larousse du savoir-vivre aujourd’hui
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