Être une épouse soumise et abandonnée : le guide pratique !

Femme abandonnée

Comme des millions de femmes, Laura Doyle voulait un meilleur mariage. Mais quand elle essaya de rendre son mari plus romantique, plus serviable et plus ambitieux, il se mit en retrait, et elle se sentit seule et fatiguée de tout contrôler. Désespérée de retomber amoureuse de son mari, elle décida d’arrêter de lui dire ce qu’il devait faire et comment il devait le faire. Quand Laura arrêta de vouloir tout contrôler, quelque chose de magique arriva : l’union dont elle avait rêvée commença à se réaliser. L’homme qui l’avait courtisée était de retour ! Le principe énoncé dans ce livre est simple : le contrôle que la femme exerce au travail ou avec ses enfants doit être laissé à la porte d’entrée de n’importe quel foyer désireux de retrouver intimité et passion. Voici quelques idées tirées de ce guide pratique qui aide les femmes à transformer leur mariage :

  • respectez l’homme que vous avez épousé en l’écoutant sans le critiquer, sans l’insulter, sans rire de lui ni vous moquer de lui. Même si vous n’êtes pas d’accord avec ses idées, ne les rejetez pas. Si vous êtes désagréable ou irrespectueuse, présentez-lui vos excuses. Prenez en compte sa réponse sans plus de commentaire et soyez consciente de votre propension à critiquer ou à faire des remarques négatives.
  • essayez de renoncer à tout contrôle qui n’est pas nécessaire. Contrairement à ce que vous pouvez penser, cela vous donnera plus de pouvoir. Arrêtez de dire à votre mari quoi porter, quoi faire, quoi dire, même si vous pensez que vous êtes en train de l’aider. Essayez de reconnaître que lorsque vous essayez de le contrôler ainsi, cela vient d’un sentiment de peur qui n’est pas toujours justifié.
  • le fait d’être une épouse soumise et abandonnée prend, au début, beaucoup d’énergie et de patience, et c’est un exercice très difficile lorsque l’on est épuisée. On a souvent plus de mal à supporter les petits défauts de son mari lorsqu’on est éreintée. Prenez soin de vous avant toute chose, faites des activités qui vous relaxent ou qui vous font plaisir. Ne vous négligez pas.
  • exprimez vos désirs et vos envies, tout en respectant les choix et les décisions de votre mari. Faites-lui part de vos besoins sans lui dire comment le faire. Vous lui donnerez ainsi une occasion de vous faire plaisir et de se sentir fier de vous rendre heureuse.
  • mettez un point d’honneur à recevoir gracieusement tout ce que votre époux vous donne : de l’aide avec les enfants, un collier, un massage. Même si vous pensez que vos finances ne vous permettent pas ce cadeau ou que vous n’en avez pas très envie, acceptez-le avec gentillesse : c’est le moyen par excellence pour arrêter de vouloir tout contrôler.
  • ne partez pas du principe que votre mari ne va pas être à la hauteur. La façon dont vous le voyez va influencer sa manière d’être. Traitez-le comme s’il était toujours ponctuel, patient, ordonné ou plein de succès, et il fera en sorte de combler vos attentes. Plus vous allez agir comme si tout allait bien se passer, plus ça sera le cas.
  • arrêtez de lire dans ses pensées. N’essayez pas de deviner ce qu’il pense et laissez-le s’exprimer tout seul.
  • ne pensez plus à l’égalité. Hommes et femmes sont différents, et c’est en gardant chacun votre place et votre rôle propre que vous vous sentirez plus protégée, plus féminine, et par conséquent plus intime avec votre mari.
  • admettez lorsque vous êtes blessée, et faites-le savoir à votre mari, au lieu de le rejeter ou de le blesser à votre tour.
  • laissez votre mari être le père de vos enfants. Faites-lui confiance. Il ne fera peut-être pas les choses comme vous ou comme vous voudriez qu’il les fasse, mais les enfants ont besoin de vous et de votre époux pour se construire.
  • ayez foi en Dieu. C’est Lui qui vous a donné votre époux et celui-ci est un instrument d’un pouvoir bien plus grand que lui.
  • laissez votre mari résoudre certains de vos problèmes. Demandez-lui son aide et son avis lorsque vous faites face à des difficultés et soyez prête à suivre ses suggestions. Dites-lui ce que vous voulez ou non, quelles sont vos limites. Ne portez pas toute seule vos problèmes lorsque vous avez près de vous un homme qui est prêt à vous aider.
  • résistez à la tentation de critiquer, rabaisser, ou rejeter votre mari. Il n’y a rien de pire pour mettre de la distance entre vous et ôter toute complicité. Parfois nous le faisons sans nous en rendre compte, soyons donc bien attentives.
  • faites confiance à votre mari dans tous les aspects de votre mariage. Si vous avez choisi de l’épouser, c’est que c’est un homme bien, à qui vous pouvez faire confiance, et avec qui vous allez vous élever mutuellement vers le Bien.

Ce livre est rempli de conseils, d’exemples, d’exercices pour apprendre à devenir une femme abandonnée qui a davantage confiance en son mari et peut ainsi retrouver toute intimité avec lui. Cet ouvrage peut être aussi très utile aux célibataires cherchant à en savoir plus sur les relations hommes/femmes. Les conseils énoncés par Laura Doyle peuvent aussi être mis en application avec un père, un frère, ou toute autre figure masculine de votre entourage. Je vous encourage donc vivement à vous le procurer et à le lire, si possible en anglais 🙂

Laura Doyle   Femmes soumises

Si vous souhaitez lire l’ouvrage complet de Laura Doyle, vous pouvez vous le procurer ici en anglais et ici en français. En commandant ce livre sur Amazon et à partir de mon site, vous me permettez de toucher une modeste commission, sans pour autant payer plus cher, et ainsi de financer la maintenance et la mise à jour de ce site 🙂 Merci d’avance 😉

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Crédit photo : Pixabay.

20 réflexions sur “Être une épouse soumise et abandonnée : le guide pratique !

  1. Roxana dit :

    Merci pour cet article, qui donne envie de dévorer le livre. Cela m’a fait penser à des clichés que l’on voit dans pop culture via les films, les séries tv, etc : celui du papa ou du mari trop maladroit / pas digne de confiance pour s’occuper des enfants / pas capable de se rappeler des tâches… c’est ce genre de clichés qui selon moi amènent beaucoup de femmes à critiquer, à vouloir contrôler… Pas très respectueux, ni constructif n’est-ce pas ?

    Pour ce qui concerne le cliché évoqué, je recommande l’article sur tv-tropes : https://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/Main/BumblingDad

    • femmeapart dit :

      Merci pour ce lien! Même si chacun a des domaines dans lesquels il est plus ou moins à l’aise, je crois que cela vient tout de même du fait que nous avons besoin de tout contrôler etc. Donc même un homme qui fait les choses bien, même si c’est différent de ce que nous aurions fait, alors nous trouvons quelque chose à redire.

  2. fleur dit :

    Le titre de l’article n’a rien à voir avec les conseils donnés. C’est juste des conseils de bon sens qui sont valables dans les deux sens, cela s’appelle : le respect.

  3. Claire dit :

    Merci pour cet article. Cependant tout comme Fleur, je ne vois pas où est la soumission dans le comportement qu’a adopté cette femme. Pour moi c’est plutôt reconnaître que l’autre est capable d’autonomie, de prise de décision, d’amour et d’intelligence, c’est le respecter.
    Il pourrait à mon sens s’agir de soumission si seule la femme reconnaissait tout cela et se comportait en conséquence. Mais je suppose que le mari ne cherchait pas à contrôler la femme et à la faire changer mais qu’il avait déjà l’attitude qu’elle a eu par la suite.
    Pourquoi parler de soumission ? Je ne vois que du respect.

    • femmeapart dit :

      Merci Claire pour ce commentaire! Le titre originale de ce livre est “l’épouse abandonnée” donc effectivement ce n’est pas exactement synonyme de “soumise”. Il s’agit beaucoup de respect et d’écoute, mais également de savoir obéir à son mari qui aura le dernier mot en cas de désaccord (en tout cas pour les grandes décisions). Je pense que c’est là qu’on peut voir de la soumission, car on accepte de suivre une décision avec laquelle nous ne sommes pas forcément d’accord. C’est comme ça que je le vois tout du moins, mais effectivement dans un couple équilibré et qui communique bien, tout se passe sans problème 🙂

  4. Claire dit :

    Selon vous pourquoi la femme devrait laisser le mari trancher sur les décisions en cas de désaccord ? Ne pensez-vous pas qu’accepter cela serait nier la maturité intellectuelle de la femme, que l’on considérerait comme incapable de prendre avec raison les décisions (surtout lorsque celles-ci sont importantes !) qui concernent son foyer, son ménage et parfois directement elle-même ? Ne serais-ce pas l’infantiliser ? Je pense que chaque être humain, homme ou femme, a besoin de sentir qu’il garde le contrôle sur ses conditions de vie et d’avoir des responsabilités, de savoir qu’on lui reconnaît une raison et une intelligence. Qu’en pensez-vous ? 🙂

    • femmeapart dit :

      Oui, le mari doit trancher en cas de désaccord (peut-être pas en ce qui concerne la couleur du canapé à acheter ou le dessert à choisir on est bien d’accord), tout simplement parce que c’est lui qui détient l’autorité (cf. les paroles de Saint Paul dans la Bible). Comme dans toute société, il faut une hiérarchie et une autorité pour que cela puisse fonctionner. Vous trouverez pas mal de réponses à vos questions dans cet article ainsi que les commentaire en-dessous: https://femmeapart.com/2019/06/15/femmes-soyez-soumises-a-vos-maris/
      Cela n’a pas pour but d’infantiliser la femme, de dire qu’elle est bête, qu’elle manque de maturité ou qu’elle ne sait pas prendre une décision. C’est tout simplement une question de bon sens pour assurer le bon fonctionnement du foyer. Avec l’autorité viennent de grandes responsabilités, ici et au Ciel, ne pensons pas que les hommes ont la belle vie! Bien entendu, la soumission est plus facile à vivre lorsque notre époux est un homme bon, chrétien, et qu’il n’abuse pas de sa position dans le foyer, mais qu’il met son autorité au service du bien commun, et non pour asservir la femme ou la rabaisser.

  5. Claire dit :

    Je trouve qu’il y a beaucoup de justesse dans ce que vous écrivez dans l’article dont vous avez mis le lien. Évidemment c’est l’Église qui demande à la femme d’être soumise à son mari et ce que vous dites, dans vos articles et en commentaires, est en accord avec cette demande, en découle même. Je ne vais donc certainement pas remettre en question la parole de Dieu ni critiquer votre conception du mariage mais je voudrais quand même revenir sur certains points de votre raisonnement qui attirent mon attention.
    Effectivement dans une société ou dans un groupe de personnes qui interagissent avec un but commun il faut une autorité. C’est différent cependant lorsque deux personnes sont réunies avec un but commun, c’est là que la discussion est la plus facile d’un point de vue pratique. Il n’y a pas besoin qu’une personne ait autorité sur l’autre pour que les choses se passent sans encombre mais plutôt que les deux personnes soient capables de faire des compromis et de plier, les deux pas une seule. D’autre part, dans votre raisonnement, il semble que le choix de l’homme pour dominer est arbitraire. Je pense que si l’Église demande à la femme d’être soumise au mari c’est pour d’autres raisons (que j’ignore).
    D’autre part, c’est justement lorsqu’il s’agit de prendre de grandes décisions qu’il est sain que deux personnes soient capables d’arriver à une solution commune parce que ce sont ces grandes décisions qui impactent la vie d’une personne. Ne pas avoir obtenu satisfaction lors du choix du canapé n’a guère d’impact sur une personne dans la plupart des cas mais pour un déménagement ? Un traitement médical ? Un grand investissement ?
    Pourquoi penser que l’homme plutôt que la femme prendrait la meilleure décision ? La femme doit-elle laisser son mari prendre une décision qui mettrait en péril la vie de la famille sous prétexte d’accomplir son devoir de se soumettre ? La femme peut se tromper et l’homme peut se tromper.
    Pour finir, il faut soit une grande force d’âme soit une grande indifférence (la première n’étant pas donnée à toutes et la seconde n’étant pas souhaitable) pour accepter que des décisions qui nous concernent plus ou moins directement puissent être prises à notre insu sans se sentir rabaissées ou niées en tant que personnes.
    Malgré ce désaccord, je salue le travail que vous faites, en particulier celui pour la mise en valeur de la modestie chrétienne dans notre société.

    • femmeapart dit :

      Je pense que l’homme est, dans la plupart des cas, plus rationnel que la femme, qui, elle, est plus guidée par ses émotions. Cela ne veut pas dire que les femmes ne savent pas réfléchir bien sûr 😉 C’est tout simplement une intelligence et une réflexion différentes. L’homme est plus à même de prendre des décisions pour le bien commun, pour le futur, sans se laisser perturber par son amitié avec untel, ses hormones, ses besoins immédiats, etc. Je pense effectivement que la soumission demande une grande force d’âme et beaucoup d’abnégation. Je vous encourage vraiment à lire ce livre (je l’ai lu en anglais donc je ne sais pas trop ce que donne la traduction française), car je trouve qu’il explique bien tout cela justement, les différences hommes/femmes et jusqu’où nous pouvons aller dans la soumission. Mais je crois qu’il n’y a pas à se sentir rabaissée ou niées si l’on sait que notre époux agit pour le bien commun. Merci pour ces échanges en tout cas 🙂

  6. Mad pianist dit :

    Je viens de découvrir votre blog, et je trouve votre perspective sur la condition féminine absolument écoeurante. Comment pouvez-vous encore, au XXIème siècle, véhiculer des stéréotypes sexistes et désuets sur l’intelligence féminine, alors que la science a démontré qu’un cerveau masculin et un cerveau féminin avaient les mêmes capacités d’apprentissage, de mémoire, etc…et que contrairement aux idées reçues, les capacités cérébrales de la femme ne sont pas modifiées au moment des règles ou de la semaine qui les précède? Un couple est fait d’un homme et d’une femme majeurs, responsables, qui doivent décider ensemble; en aucun cas l’un ne peut décider pour l’autre, surtout pas au motif que l’homme sait mieux!
    C’est très insultant aussi comme insinuation par rapport à toutes les femmes illustres dans le cours de l’histoire qui ont su pendre des décisions fermes au bon moment: Jeanne D’Arc, Elisabeth I, Florence Nightingale, George Sand, Marie Curie…pour n’en citer que quelques unes!
    Il me semble, sans vouloir vous critiquer personnellement, que vous avez subi un lavage du cerveau dès le plus jeune âge pour adopter des idées aussi dangereusement erronées, qui de plus vous concernent vous-même: j’espère pour vous qu’un jour vous réussirez à en sortir.

  7. Bénédicte dit :

    Comme dans toute communauté humaine, société professionnelle, association, il faut de l’ordre. Il n’y a rien de pire que l’anarchie ou la désunion. Un chef d’entreprise un brin sensé prend conseil de ses subordonnés ou autres personnes compétentes pour décider des changements de cap nécessaires au bien de l’entreprise. Lui seul assumera ses mauvaises décisions, voire les paiera devant la justice. On voit mal sa secrétaire, son réceptionniste, ou autre membre du personnel porter de telles responsabilités.
    La famille qui est une micro société fonctionne de la même manière: mari et femme doivent discuter, réfléchir ensemble…mais difficile de voter quand on est 2!!! On peut être d’accord sur bien des choses importantes, mais il arrive un moment où il faut prendre un décision. Le chef de famille doit la prendre et en assumera les responsabilités devant les hommes et devant Dieu.. Son épouse, pleine de bon sens, a dit ce qu’elle avait à dire, parfois fermement, elle a été écoutée. Une fois la décision prise, elle doit soutenir son mari paisiblement, ne jamais lui adresser de reproches… C’est un grand bonheur pour des enfants de vivre dans une telle paix. J’insiste sur cette paix qui manque tant dans les familles, et où il est si pénible pour les enfants de se construire quand cette paix est fragilisée.
    D’où l’importance de bien réfléchir avant de vous marier, à ce que vous souhaitez pour votre future famille. Les fiançailles sont trop souvent l’occasion de gaspiller du temps à organiser une réception. Combien de sujets nos jeunes tourtereaux devraient-ils aborder en profondeur pour expliquer comment ils voient la vie…dans ses mille détails qui rendent le quotidien respirable!
    C’est tellement plus simple ensuite…
    Une mère de famille, 5 enfants, 47 ans…épouse comblée!

    • femmeapart dit :

      Bonjour Bénédicte et merci pour votre témoignage plein de bon sens! Je pense que cela se perd beaucoup aujourd’hui, malheureusement. Je suppose que mettre en œuvre ce que vous dites n’est pas forcément évident tous les jours, mais, même si cela nous coûte un peu parfois, je sais que c’est la meilleure façon de souder un foyer et de le faire fonctionner sans accroc.

  8. AT dit :

    Chère Thérèse, que de bon sens dans tout cet article !
    En ce qui me concerne, je n’avais pas compris en me mariant à quel point ne pas vouloir tout gérer était source de paix dans le foyer. En même temps, je pense que c’est un peu le cas de tout le monde. Et comme le dit si bien Bénédicte, c’est là qu’intervient la période si importante des fiançailles : avoir l’assurance de l’idéal commun et de la façon de l’atteindre ensemble. 10 ans de mariage et, même s’il y a des jours où je trépigne intérieurement, j’ai la conviction et la preuve que faire confiance à mon époux et ne pas être tout le temps sur son dos est source de paix pour la maison. Et les liens entre Mari et Femme s’en trouvent ô combien renforcés.
    Savoir lâcher du lest pour les détails insignifiants donne beaucoup plus de poids à notre avis lorsqu’on aborde les sujets importants. Justement parce que notre mari n’étant pas submergé par nos récriminations sera totalement ouvert à l’écoute et à la réflexion à deux. Et ne pas être continuellement en train de vouloir tout gérer nous apprend aussi la pondération et la patience dans la réflexion.

    • femmeapart dit :

      Merci pour ce super témoignage ! Je pense que cela demande, en effet, beaucoup de patience et d’humilité au quotidien, mais comme cous le dites on est vite récompensée de ses efforts et l’ambiance au foyer s’en ressent ! Et cela doit être tellement plus agréable pour les enfants de vivre près de parents qui ont une relation paisible et harmonieuse (même si tout n’est pas toujours robe bien sûr).

  9. Patricia Guibal dit :

    J’ai 66 ans, j’ai élevé seule mes enfants et je me suis toujours heurté au machisme y compris des femmes. Je pense que j’ai été trompée. Ces idées de liberté, d’égalité sont fausses. J’ai été catholique. J’ai élevé mes enfants dans le féminisme de droite. Et j’ai beaucoup souffert. Les hommes n’ont pas évolué, c’est un constat. Je suis aujourd’hui grand-mère et mon gendre me demande de changer. J’ai décidé de le faire, car le féminisme n’a apporté que souffrance dans ma vie. M’y conformer au moins dans la sphère privée. Je pense que c’est les hommes qui ont gagné la liberté sexuelle.

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