Chère Thérèse, Voilà six mois environ que j’ai découvert votre blog. Il m’a tout de suite plu avant tout… parce qu’il est beau et très harmonieusement illustré ! Et en le découvrant petit à petit sous tous ses aspects, bien divers finalement et très riches, je m’y suis tout à fait retrouvée quant au fond, et j’y ai pioché beaucoup de petits conseils bien utiles. Bravo pour cette oeuvre salutaire, cette bouffée d’oxygène, de pureté, de bon goût et de beauté dont nous avons tant besoin. J’imagine le travail que cela représente pour vous, je vous félicite pour tous les sujets renouvelés que vous nous présentez, je vous admire pour votre patience et votre modestie face aux commentaires parfois déplacés voire acerbes sur votre page Facebook. Bravo. Je suis sûre que votre travail fait beaucoup de bien et j’ai déjà fait connaître votre blog autour de moi ! Pour tout vous dire en quelques mots, j’ai porté des jupes ou des robes toute mon enfance mais, tout en étant très attachés à la féminité du vêtement, mes parents ont fini par admettre que je porte un pantalon au collège… Mais hors de question d’en porter le week-end ou à la messe ! Au début je devais même remettre une jupe en rentrant le soir. L’enseignement a porté puisque, après avoir passé toutes mes années étudiantes en pantalon, je me suis mise du jour au lendemain, à la fin de mes études, à ne plus porter que des jupes… qui d’ailleurs me vont beaucoup mieux. Et ma sœur d’ailleurs a suivi le même parcours. A part pour quelques (rares !) séances de sport, je n’ai pas porté de pantalon depuis quatorze ans, même pendant les quelques années ou j’ai fait du vélo tous les jours, même par -5 ou -10 degrés. Je vous félicite aussi pour tout ce que vous écrivez sur la beauté de la vocation de la femme, de la mère, et de son rôle dans la société et dans son foyer. Ce sont des choses si difficiles à faire entendre aujourd’hui, y compris parfois dans les milieux catholiques ! (…) Je souhaite donc beaucoup de succès à votre blog, et je vous souhaite à vous-même beaucoup de bonheur dans l’accomplissement de la vocation à laquelle la Providence vous destine.

Agnès